Il faut dire que le projet ne cesse de faire parler et a pris du retard sur le programme initial.
C’est la raison pour laquelle la France et l’Italie vont signer dans la journée un protocole à l’accord conclu l’année dernière sur le lancement des travaux avec notamment une certification des coûts et leur répartition.
Le financement du Lyon-Turin, dont le coût est estimé à 8,4 milliards d’euros, sera réparti entre l’Union Européenne (40%) puis entre les deux pays où la ligne passera (60%). La France devrait ainsi prendre en charge 42,1% et l’Italie 57,9%.
Ce sommet aura donc pour objectif de lever les dernières barrières d’un projet dont l’histoire a débuté en 2001. Sa mise en service est prévue en 2028-2029.