La zone hydrocarbures de Lyon-Sud faisait partie des 7 sites évoqués, tout comme le quartier de la Défense à Paris ou l’aéroport de Toulouse.
Mais selon le ministère de la Défense, la liste qui a fuité dans la presse était en fait un document de travail fictif destiné à la formation de jeunes élèves d'une école d'officiers. Il était censé avoir été réalisé grâce à la surveillance des réseaux sociaux et des sites internet dans les milieux proches des jihadistes. Selon ce document, Feyzin risquait d'être ciblée par un attentat à la voiture piégée.