Cette angoisse se traduit par des inquiétudes sur l’avenir (12 % envisageaient mal leur futur en 2013), un manque de sommeil (19,5%) enfin 38 % affirmer avoir du mal à gérer leur stress. Plus inquiétant encore, 8% des jeunes interrogés reconnaissent avoir eu des pensées suicidaires au cours de l’année écoulée. Le sommeil serait à l’origine de la fatigue physique et mentale notamment chez les étudiants. Un sur dix explique avoir besoin de prendre des médicaments pour dormir. Les études favorisent aussi parfois un sentiment de solitude, selon le réseau de mutuelles, beaucoup se sentiraient démunis face à leurs angoisses.
Pour remédier au stress et se changer les idées, la pratique d’une activité sportive est conseillée. Un phénomène qui s’observe parmi les étudiants, ceux qui font du sport régulièrement s’estiment en meilleure santé et affirment mieux s’alimenter.