Leur rassemblement pro-réfugiés leur permettait de réclamer à la Métropole de Lyon que cette dernière "ouvre ses logements vides aux réfugiés et migrants sans abri ou expulsés". "Après les terribles attentats de Paris, notre solidarité est d'autant plus nécessaire que nombre de réfugiés ont fui des violences de ce type", indiquaient les organisateurs.
Moins d'une dizaines de membres de l'Action Française, un groupuscule monarchiste d'extrême droite, ont ensuite tenté de parasiter le rassemblement. Venus de Saint-Jean, ils ont rapidement été coursés, frappés et mis en fuite par les manifestants.
Leur affiche, confisquée tel une prise de guerre, a ensuite été brûlée (photo).