Ils dénoncent, depuis vendredi, "une politique salariale discriminatoire" et "une rupture du dialogue social", faisant référence à des primes versées en août aux dirigeants d'Eiffage, les ouvriers n'en auraient touché que 10%.
De plus, selon le syndicat CGT, il y aurait également eu plusieurs incidents sur le chantier avec un brûlé par électricité il y a trois mois, un départ de feu, ou encore un doigt coupé..
Un rendez-vous est prévu ce mardi avec les membres de la direction mais les ouvriers veulent être reçus immédiatement.
Ainsi, selon le syndicat CGT, les grévistes qui représentent plus de 75% de l'effectif total, maintiennent le blocage du site.