Les lieux alternatifs lyonnais vus par The Guardian

Les lieux alternatifs lyonnais vus par The Guardian

Le site internet du quotidien anglais The Guardian a publié, ce lundi,
un guide alternatif présentant la ville de Lyon sous toutes ses formes.
De la cuisine, à la musique en passant par l’art, rien n’a été oublié.
Tout un programme.

Alors que Paris est la ville la plus visitée de France, Lyon est une ville tout aussi intéressante par sa diversité, rappelle l’auteur de l’article. Le journaliste dresse un portrait pour le moins flatteur de la métropole lyonnaise, en faisant découvrir aux anglais, et étrangers, les lieux les plus branchés de la capitale des Gaules.

Question musique, plusieurs lieux sont cités par The Guardian. Des lieux connus de tous les lyonnais comme le Transbordeur ou le Sucre mais aussi des lieux plus insolites. L’auteur aborde tout d’abord, la musique électronique en faisant l’éloge du Marché Gare, de l’Epicerie Moderne et du Grrrnd Zero, puis le rock avec Le Sonic pour finir par les représentations lives avec Le Tronskon et Les Capucins. Il y en a pour tous les goûts.

Des goûts très différents qui sont également présents dans les restaurants lyonnais puique le site évoque rapidement la cuisine typiquement lyonnaise, avec Le Garet, avant de s’attarder sur la street food avec des saveurs venues d’horizons très différents. Que ce soit la cuisine vietnamienne avec le Nam Sanwich, la cuisine japonaise avec Chez Terra ou encore la cuisine franco-suédoise avec le Kitchen’s Café, l’article montre bien la diversité des établissements culinaires lyonnais. Un petit tour du monde culinaire qui se trouve rassemblé dans une seule ville.

Et la balade culturelle ne s’arrête pas là puique le site finit par publier une liste des galeries d’arts à ne pas manquer dans la région lyonnaise. Aucun grands musées n’est évoqué mais des lieux plus atypiques comme la Salle de Bains , L’œil de Bœuf, la Datta Galerie ou encore Le bleu du Ciel.

De la Croix-Rousse à Confluence, toute la ville de Lyon a été passée au peigne fin afin de présenter aux étrangers ce qu’il se fait de mieux dans la capitale des Gaules.