La politique lyonnaise est d’ailleurs la cible récurrente de nombreuses critiques de l’opposition.
Ce lundi, Nicolas Sarkozy a affirmé lors d'un meeting aux
Pavillons-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, que l’école de la République
était "en danger" ajoutant qu’elle allait devenir "médiocre au lieu
d’être exigeante".
"Au nom de l'égalitarisme, ils ont construit
l'école de l'injustice" et l'école est devenue "l'otage de quelques
idéologues experts en pédagogisme", a-t-il aussi critiqué. François Hollande en a également pris pour son grade. "Je suis sidéré par la médiocrité offerte chaque jour depuis trois ans".
Le président de l’UMP n’a pas été le seul en ce début de semaine à tacler Najat Vallaud-Belkacem. Sur
Europe 1, l’essayiste Alain Minc s’est dit "épouvanté" par la réforme
du collège portée par la ministre de l’Éducation nationale. "Cette
idée qui me paraît effarante que les profs sont libres de fixer
eux-mêmes 20% des programmes d'histoire". "Je me dis : où va-t-on ?",
a-t-il dénoncé avant de conclure : "Je me dis parfois que celle qui
traite les intellectuels de pseudo-intellectuels est peut-être au job
ministériel une pseudo-ministre".
Najat Vallaud-Belkacem cible des critiques de Nicolas Sarkozy et Alain Minc
La réforme du collège de la ministre de l’Éducation nationale ne cesse de faire parler ces derniers jours.