Il passait des appels malveillants au PS, au FN, au ministère de la Justice et au recteur de la Grande Mosquée de Lyon

Face aux enquêteurs, il a reconnu avoir agi par bêtise et sous le coup de la colère. Les attentats parisiens semblaient avoir troublé cet habitant de l'Ardèche, inconnu des forces de l'ordre jusqu'à samedi et son interpellation. Il s'était rendu coupable de plusieurs appels malveillants à destination du siège du Parti Socialiste rue de Solférino, au Front National, au ministère de la Justice mais