Lors d'un déplacement à l'usine FagorBrandt de Saint-Jean-de-la-Ruelle, près d'Orléans, le ministre du Redressement productif a affirmé jeudi que l'Etat mettait tout en œuvre pour permettre une "issue pérenne" pour les emplois. Pour rappel à Lyon, 409 travaillent sur le site de Fagor Brandt dans le 7e arrondissement, qui fabrique des machines à laver pour les marques Brandt, Vedette et Fagor et 40

Le tribunal de commerce de Lyon devrait normalement se prononcer dans les prochaines heures sur le dossier de reprise du groupe chimique. Pour rappel, jeudi, l’affaire a connu un nouveau rebondissement ; le fonds d’investissement américain Open Gate Capital a décidé de retirer son offre de reprise ; cette dernière n’étant pas possible "techniquement" avec celle de l’industriel français Alain de Kr

Suite au placement en garde à vue de la maire du 1er arrondissement, entre 70 et 80 personnes se sont rassemblées jeudi soir devant l'Hôtel de Police, rue Marius-Berliet dans le 8e. Parmi eux, des manifestants pour le relogement des familles expulsées mais aussi Armand Creus, conseiller régional Front de Gauche (présent mardi soir devant le collège Truffaut) et des élus EELV. Pour rappel, Nathalie

Alors que le préfet du Rhône, Jean-François Carenco avait promis que tout serait réglé avant Noël, le dossier Kem One connait deux coups de théâtre en moins de 24h. Mercredi, le tribunal de commerce de Lyon se réunissait une énième fois pour désigner un repreneur pour le groupe chimique basé à Lyon et placé en redressement judiciaire depuis mars dernier. Une audience qui a été suspendue car les d

Le foyer lyonnais est actuellement en rupture de stocks de couvertures. Il en distribue en moyenne 50 par jour aux personnes nécessiteuses dans la rue. Notre-Dame des Sans-Abri en appelle donc à la générosité des Lyonnais. Les couvertures, propres et en bon état, peuvent être déposées aux dépôts du 7e arrondissement : au 85 rue Sébastien Gryphe et au 8 boulevard de l’Artillerie.

Mercredi soir, plus de 150 personnes se sont retrouvées place de la Comédie, devant l'Hôtel de Ville pour réclamer le relogement de familles expulsées. La veille, 300 personnes avaient tenté de réquisitionner le collège Truffaut. Une action qui s’était terminée par l’intervention des forces de l’ordre, Nathalie Perrin-Gilbert, la maire du 1er arrondissement, avait alors reçu du gaz lacrymogène. G

Ce mercredi, Pierre Millet a passé une après-midi mouvementée. Retenu par ses salariés dans les bâtiments de SITL dans le 7e arrondissement de Lyon, le PDG a finalement cédé à leurs exigences et leur a fait une garantie écrite concernant leurs salaires du mois de décembre, amputés de 10 à 20% pour certains. A noter qu’une réunion avec Alexandre Moulin, commissaire régional au Redressement Producti

Contrairement à ce mercredi matin, les usagers du métro lyonnais auront droit à leur exemplaire de 20 Minutes jeudi. La rédaction du quotidien gratuit annonce avoir voté en assemblée générale "la suspension de la grève". Pour rappel, les journalistes de 20 Minutes, partout en France, s'opposaient à un plan social entraînant la suppression de 13 postes, dont la totalité des photographes.

Le tribunal de commerce de Lyon, qui devait désigner un repreneur pour Kem One ce mercredi, a finalement suspendu son audience. Il ne reste que deux offres de reprise pour le groupe chimique placé en redressement judiciaire en mars dernier, et ces deux offres, portées par Alain de Krassny et Open Gate Capital, pourraient désormais fusionner. De son côté, Arnaud Montebourg, le ministre du redressem

Les salariés de SITL retiennent ce mercredi après-midi leur PDG dans une salle de l’entreprise du 7e arrondissement pour lui demander des garanties sur leurs salaires du mois de décembre. Un représentant de SUD nuance cependant cette action coup de poing : « on discute simplement avec lui ». 350 salariés sont actuellement au chômage partiel, et pourraient ne pas être payés ce mois-ci. Leur avenir

Mercredi à 18 heures, l’association Peuples Solidaires organise une action symbolique à quelques jours de Noël, devant le centre commercial Confluence. Son objectif : dénoncer les pratiques de Mattel et les conditions de travail de ouvriers chinois qui fabriquent les poupées Barbie. Ces derniers doivent travailler jusqu’à 13 heures par jour, 7 jours sur 7, pour un salaire mensuel de 190 euros.

Un appel au regroupement a été lancé, des manifestants réclamant le relogement de familles à la rue se rassembleront mercredi à 18h sur la place de la Comédie, devant l'Hôtel de Ville. Ils souhaitent ainsi "intervenir lors de la réunion organisée par la mairie centrale sur la question de l'hébergement d'urgence". Mardi soir, plus de 300 personnes ont tenté de réquisitionner le collège François-Tru

150 employés de la SITL ont défilé mardi à Lyon, entre leur usine du 7e arrondissement et le Conseil Régional, où les manifestants ont demandé à être reçus par Jean-Jack Queyranne. La société lyonnaise sous-traite la production de lave linge de Fagor Brandt, mais depuis le placement en redressement judiciaire du groupe, 420 emplois sont menacés. 350 salariés sont toujours au chômage partiel et le

Il y aura un 3e jour de grève à la raffinerie de Feyzin. Une réunion entre les syndicats et la direction, concernant une revalorisation des salaires, n’a pas abouti. Le mouvement est reconduit, mais les négociations se poursuivent. Mardi, les syndicats indiquaient vouloir bloquer les installations "le temps nécessaire". Les livraisons sont stoppées, plus aucun camion ne rentre ni ne sort, ni par l

Ce mardi en début d'après-midi, entre 130 et 160 taxis ont bloqué le quai Augagneur dans le 3e arrondissement de Lyon. Ils souhaitaient ainsi montrer leur mécontentement après le refus de la préfecture de convier une délégation à la commission départementale censée intégrer à la zone unique de prise en charge (ZUPC) trois nouvelles communes : Dardilly, Charbonnières et Feyzin. Les chauffeurs titul

Les cinq raffineries et deux usines du groupe pétrolier Total sont touchées depuis le début de la semaine par un mouvement de grève. A Feyzin, une assemblée générale a eu lieu lundi en début d'après-midi à l'appel de FO et de la CGT. Selon les syndicats, 64% des salariés ont voté pour une grève illimitée. Les installations de la raffinerie ont été arrêtées. Les grévistes entendent ainsi dénonce

Ils ont prévu de se rassembler en début d’après-midi devant le conseil régional, où ils demanderont à être reçu par Jean-Jack Queyranne. La société lyonnaise sous-traite la production de lave linge de Fagor Brandt, mais depuis le placement en redressement judiciaire du groupe, 420 emplois sont menacés. 350 salariés sont toujours au chômage partiel et le resteront jusqu’au 6 janvier prochain.

Les employés de la SITL à Lyon ont prévu de se rassembler mardi devant le conseil régional, où ils demanderont à être reçus par Jean-Jack Queyranne. La société lyonnaise sous-traite la production de lave linge de Fagor Brandt, mais depuis le placement en redressement judiciaire du groupe, 420 emplois sont menacés. 350 salariés sont toujours au chômage partiel et le resteront jusqu’au 6 janvier pro

Trois raffineries Total sur cinq sont en grève ce lundi. A Feyzin, une assemblée générale a eu lieu en début d’après-midi à l’appel de FO et de la CGT. Selon les syndicats, 64% des salariés ont voté pour une grève illimitée. Les installations de la raffinerie ont été arrêtées. Les grévistes entendent ainsi dénoncer les dernières négociations de salaires et parlent d’une « direction méprisante ». S

En raison d’un mouvement de grève régional, la circulation des trains sera perturbée ce lundi dans la région. Certaines lignes connaîtront des retards et même des annulations ; ce sera par exemple le cas sur la ligne Chambéry-Amébrieu-Lyon ou encore sur la ligne Le Puy-Firminy-Saint-Etienne-Lyon. Des bus seront mis en place. Les usagers sont invités à se renseigner sur le www.ter-sncf.com.

Il s’agit cette fois-ci d’un mouvement national à l’appel du collectif des sages-femmes. Le cortège partira à 11h et rejoindra le ministère des Affaires sociales et de la Santé. La profession est en grève depuis le 16 octobre en raison du manque de reconnaissance de leur statut. Après cinq ans d'études, elles sont simplement affiliées à une profession paramédicale et demandent par conséquent d'acc