Selon le président de l'éditeur de logiciels basé actuellement dans le quartier de l'Industrie à Lyon, il n'y aura aucune conséquence sur les emplois lyonnais.
Au Progrès, JMA a expliqué que l'opération serait réalisée dans le but de transformer Cegid en société européenne. Aux Pays-Bas, le nouveau siège social n'emploierait que quatre personnes, toutes recrutées pour l'occasion d'ici la fin de l'année.
Toute "connotation fiscale" du transfert est à écarter selon l'intéressé.
Les activités et les postes lyonnais sont donc sécurisés si l'on en croit Jean-Michel Aulas, président encore une année de Cegid, qu'il a fondé en 1983. Selon nos confrères, celui qui ne détient aujourd'hui que 4% du capital pourrait finalement prolonger l'aventure au-delà, tout en cumulant avec ses fonctions de président de l'Olympique lyonnais.