Le délit aurait pu rester impuni si un des cambrioleurs n’avait pas laissé traîner un mégot de cigarette sur les lieux.
Le jeune homme interpellé avait participé au cambriolage et a pu être confondu grâce au mégot laissé dans une chambre. Son ADN, retrouvé sur le morceau de cigarette, était déjà présent dans le fichier national des empreintes génétiques pour une affaire de recel dont la condamnation n’est pas encore inscrite sur son casier judiciaire.
Après avoir reconnu sa participation au vol, le cambrioleur a déclaré avoir été très alcoolisé lors des faits.
Face à l’absence d’antécédent, le voleur de 20 ans a quand même été averti sérieusement. Il a écopé d’une peine de 8 mois de prison avec sursis, plus une mise à l’épreuve de deux ans et une obligation de travailler.
Partie en week-end prolongé, la famille occupant l’habitation n’était pas présente au moment des faits.