Selon le Progrès, le premier go-fast a été arrêté à hauteur de Dijon sur l'A31. Dans une trappe actionnable par télécommande se cachait 50 kilos de cachets d'ecstasy.
Plus tard dans la même journée, les forces de l'ordre mettaient la main sur une autre voiture à Lyon où était cachée la même quantité de drogue, à l'aide du même procédé sophistiqué.
A noter que l'un des deux convois était conduit par un couple, qui avait amené leurs enfants. Ces derniers ont été placés.
La drogue proviendrait des Pays-Bas, et le butin est estimé à la revente à 3,5 millions d'euros.
L'homme et les trois femmes ont été mis en examen et écroués la semaine dernière. L'enquête se poursuit afin de remonter la piste de l'ecstasy, voire de trouver les complices lyonnais qui devaient réceptionner la marchandise.