Cette décision intervient quelques jours après le cambriolage du stand de tir. Plusieurs armes de poing, un fusil d’assaut et 1400 munitions ont notamment été dérobés.
Selon la préfecture, "les premières constatations ont révélé de graves négligences de la part des responsables de l'établissement et des manquements évidents aux obligations de sécurité auxquelles ils doivent veiller".
Le club de tir et ses trois principaux responsables se sont aussi vu retirer les autorisations de détentions d’armes et de munitions qui leur avaient été délivrées.
Le préfet a également "demandé aux services de police et de gendarmerie de procéder, dans les meilleurs délais, à des visites inopinées de tous les stands de tir sportif du département pour contrôler leurs conditions de sécurité".