Dans un comminuqué, les syndicats déclarent que leur mobilisation intervient "face à une administration pénitentiaire et un ministère de la justice complétement dépassés et face à un budget 2016 en stagnation qui ne correspond en rien aux moyens nécessaires pour combattre la crise profonde que traversent l'administration pénitentiaire".
Entre autres, les syndicats avancent le nombre de 4500 agressions sur les personnels ainsi que 18 prises d'otage durant les douze derniers mois.